Les 5 articles à ne pas manquer…
Vous les avez manqués ? Et bien, pas nous 😊😊 Pour celles et ceux qui souhaitent en apprendre un peu plus sur le BIM ou sur les outils à ne pas rater, (re)découvrez quelques billets phares de notre blog !
Vous les avez manqués ? Et bien, pas nous 😊😊 Pour celles et ceux qui souhaitent en apprendre un peu plus sur le BIM ou sur les outils à ne pas rater, (re)découvrez quelques billets phares de notre blog !
Vous avez manqué BIM@OAI ? Pas de panique, on vous fait un petit récap ! 😊La quatrième édition de BIM@OAI a eu lieu lundi 17 juin 2019 au siège de l’Ordre des Architectes et des Ingénieurs-Conseils (OAI). Avec près de 200 personnes…
De nombreuses opportunités s’offrent à vous ces prochains mois pour découvrir les métiers du BIM, les compétences liées et l’offre de formation ou d’accompagnement actuelle.
Parmi elles, un événement qui pourrait vous donner une 1ère approche sur les enjeux liés à cette nouvelle méthode de travail qui s’impose progressivement dans le monde de la construction…
Un rendez-vous à ne pas manquer, organisé par le Luxembourg Institute of Science and Technology (LIST) le 21 février à Belval.
Cette conférence, qui a lieu dans le cadre du projet BIM4VET a pour objectif de rassembler l’ensemble des acteurs de la construction – ingénieurs, architectes, entreprises de construction, maitrise d’ouvrage etc. – issus de la Grande Région afin d’aborder la question des compétences BIM et l’offre de formations associée.
Les détails du programme et les inscriptions, c’est par ici : https://www.list.lu/en/event/conference-passez-au-bim-formez-vous/
Ah, je vous vois venir 😉 Bien entendu, en tant qu’expert sur le sujet, BIMConsult sera là ! Et pour cette manifestation, c’est notre Daniel qui présentera un retour d’expérience au Luxembourg 🤓 👍 Nous espérons qu’il saura capter votre attention… Dans tous les cas, vous ne manquerez pas de nous le dire si ce n’est pas le cas 😉
Et pensez à toutes les opportunités qui s’offriront à vous avec le BIM !
Si vous souhaitez vous lancer, nous sommes là ! Et grâce à notre offre BIMSolution co-construite avec le pôle d’innovation technologique de la construction durable, Neobuild, nous vous accompagnons via une méthodologie éprouvée en 4 étapes clés, gage de l’intégration optimale du BIM par vos collaborateurs.
Le déploiement du BIM s’est poursuivi en 2017 dans le monde de la construction avec de nombreux freins qui disparaissent progressivement aux vues des premiers projets menés via ce processus collaboratif… Les retours d’expériences se font de plus en plus nombreux, notamment au Grand-Duché 😉, permettant ainsi d’affiner les méthodes de travail et d’aller progressivement vers un « full » déploiement.
Pour ce début d’année, Hexabim nous propose une série de témoignages de 7 invités-experts au sujet des évolutions BIM durant 2017 et pressenties pour 2018… 👍
Et bien entendu, qui dit expert, dit Mehdi, le gérant bien aimé de BIMConsult 😃 mais pas seulement… Retrouvez également dans cet article les points de vue de :
• Alexandre Cuvier – Président Fondateur de BIM BAM BOOM,
• Christophe LHEUREUX – Directeur délégué à l’Innovation et au Bâtiment intelligent chez Immobilière 3F,
• Gabriel CASTEL – BIM Development Manager chez ALLPLAN,
• Jean-Baptiste VALETTE – Directeur Adjoint Ingénierie Avancée chez Vinci Construction France,
• Luca DAL CERRO – Directeur des Opérations et du Développement BIM Factory chez ENGIE,
• Souheil SOUBRA – Directeur Technologies de l’Information chez CSTB.
Finalement, le BIM n’est-il pas simplement une suite logique à la digitalisation du monde du BTP ?
L’avènement du DAO (Dessin Assisté par Ordinateur 🖥) dans les années 80 en était la première forme et a permis de véritablement démocratiser l’usage du numérique… Les professionnels quittaient alors leur « bonne vieille table à dessin »✏. Les supports de travail ont ensuite évolué, avec le déploiement des technologies mobiles qui ont peu à peu apporté le numérique sur le chantier : un nouveau bouleversement pour toutes les entreprises qui y voit aujourd’hui les bénéfices pour leur activité.
C’est pourquoi, finalement, nous devons voir « l’ère du BIM » comme une nouvelle étape clé de la digitalisation qui va très rapidement permettre à tous de gérer le cycle de vie complet d’un bâtiment, depuis les esquisses en passant par la conception du projet et sa construction, ainsi que sa gestion et sa maintenance.
Les outils de conception générative ou generative design permettent de produire des formes optimales pour les produits et les bâtiments, bien au-delà de ce qu’un humain seul pourrait créer ! ET oui, la technologie a aussi du bon 😉
Grâce à la puissance de traitement du cloud computing (exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l’intermédiaire d’un réseau, généralement internet) et de l’Intelligence Artificielle, les logiciels de conception générative ont la faculté de tester tous les scénarii de conception et donc de repousser les limites de la création. Le logiciel peut ainsi automatiquement rendre un bâtiment plus résistant, sa structure plus légère… 😃.
Finalement, mêler intelligence humaine pour la définition des objectifs, un ordinateur utilisant les algorithmes de l’intelligence artificielle, la puissance de calcul du cloud et les outils de conception générative permet de générer une conception optimale et révolutionne l’acte de créer, de concevoir et de fabriquer à tous les niveaux : géométrique, mécanique, thermique…
Les solutions de conception générative permettent donc d’explorer des milliers/millions de choix de conception, les tester et évaluer lequel correspond le mieux au sujet. Ça fait rêver quand même… 💭💫
Vous nous direz « trop complexe à mettre en place, on y est pas encore… Peut-être, mais anticiper les évolutions futures de votre métier n’est-il pas le meilleur moyen de rester compétitif et de garantir l’avenir de votre entreprise ?
Concrètement le generative design vous ouvre le champ du possible et vous permettra de :
Enfin, créer des algorithmes aussi complexes, pas évident quand même !
Ne pas se lancer à l’aveugle est la clé du succès. Pour cela, 3 grandes étapes doivent être respectées :
Pas si compliqué… Par exemple, les quelques contraintes pour la conception d’un bâtiment pourraient être : son orientation, la surface et la disposition de chaque pièce, les normes thermiques, structurelles ou encore les points lumineux artificiels.
Une fois ces contraintes définies, le generative design permettra d’automatiser le calcul des différentes solutions. L’architecte n’aura plus qu’à choisir l’une d’entre elle pour l’implémenter dans son projet directement ou s’en servir de base pour concevoir une maquette finale.
Le projet Dreamcatcher d’Autodesk respecte les différentes étapes du processus de generative Design. Basé sur un système de cloud, il permet à l’utilisateur de paramétrer ses objectifs et contraintes de conception et de générer une multitude de solutions y répondant. Bien qu’aujourd’hui l’outil n’ait été essentiellement utilisé que pour la création de pièces et de composants fonctionnels, il peut être exploité pour la réalisation complète d’un bâtiment !
Le BIM est-il obligatoire à Luxembourg, existe-t-il des documents qui peuvent m’aider à migrer vers le BIM, pourquoi avoir un BIM manager au sein de son bureau, sa structure ?
Effectivement, on nous pose souvent ces questions… Et comme nous mettons un point d’honneur à vous faciliter la compréhension du BIM et vous informer sur son développement au Grand-Duché du Luxembourg, nous nous sommes dit qu’une petite FAQ pourrait bien aider nos lecteurs assidus mais aussi toutes celles et ceux qui découvrent le BIM…
« Malinx le lynx »… désolé aparté publicitaire francophone :)
Finalement, nous avons donc décidé de créer une nouvelle page sur notre site, une FAQ qui sera alimentée au fil des évolutions dans notre (et bientôt le vôtre 😉) domaine de prédilection : LE BIM !
Pour accéder à notre FAQ, cliquez ici.
Pour ce nouveau poste de rentrée (et oui, nous sommes tous de retour :( ) nous avons choisi de vous faire part d’un retour d’expérience que votre humble serviteur, BIMConsult, a pu réaliser récemment sur le cas d’usage 4D ! Avis aux amateurs…
Un client souhaite payer l’entreprise générale en charge du projet, en fonction de l’avancement réelle sur site. Cela prend du sens vous nous direz ;) Pour y parvenir, il applique donc la 4D à son chantier et par conséquent le cas d’usage en lien.
Et oui, plusieurs points essentiels doivent être pris en compte pour garantir la réussite du chantier… La mise en place d’un tel processus ne se fait pas en 5 minutes et nécessite une bonne connaissance de la technique, des logiciels mais le plus important, une implication totale de tous les intervenants.
Pour garantir le succès d’une telle application, réfléchissons à 3 points clés : ce que nous avons, ce que nous voulons et bien sûr comment le mettre en place…
– Des maquettes Revit de toutes les disciplines.
– Le logiciel de planification Primavera.
– Le logiciel Navisworks manage pour la 4D.
– Une volonté affirmée et affichée de toute l’équipe ! :)
Suivre l’avancement du projet en temps réel et le comparer à ce qui a été prévu, pardi !
Les clés de la réussite en synthèse :
– Pouvoir identifier chaque objet des maquettes.
– Lier ces objets à un planning.
– Connaitre la date de pose de l’objet.
– Garder un historique de l’évolution des éléments entre les différentes versions.
MAIS AUSSI, afficher tout ça en 3D avec de jolies couleurs car la vie en couleur c’est mieux :)
Dans les starting-block… On met les mains dans le moteur, âmes sensibles s’abstenir, ça va être du lourd 😉
Quelles sont les tâches que nous avons du accomplir pour déployer ce processus ?
Au préalable, un paramètre partagé Revit a été réalisé, appliqué à tous les éléments de la maquette. Ce paramètre contient la date de pose de l’élément.
Une fois ce travaille effectué, nous avons extrait toutes les dates de pose de chaque élément dans un fichier Excel, afin d’en créer une base de données et aussi pouvoir extraire ces valeurs à chaque révision de la maquette (une révision tous les mois). CECI NOUS A PERMIS DE FAIRE UN SUIVI DE L’ÉVOLUTION DE CHAQUE ÉLÉMENT.
Ensuite, nous avons du utiliser la fonction data Tools de Navisworks pour lier cette base de données afin de voir l’historique de pose de chaque élément dans ses propriétés.
Grâce à cette valeur de pose, nous avons pu mettre en couleur les éléments installés sur site et ensuite les comparer au prévisionnel et au réel.
Oui, c’est bien possible et devinez grâce à quoi ? Au BIM bien entendu, qui est et reste à nos yeux la collaboration de personnes motivées autour de solutions informatiques innovantes. Si tous les acteurs jouent leur rôle et qu’un BIM Manager s’assure de la bonne implémentation des informations alors, ENSEMBLE, nous ferons évoluer notre métier.
Le référentiel BIM pour tous les acteurs de la construction au Luxembourg est disponible! OUI, c’est vrai vous l’attendiez depuis un moment… On vous le promettait… Et bien… le voilà !!! 👍👍👍
Suite aux travaux des différents groupes de travail BIM constitués au sein du CRTI-B, ce dernier a lancé une plateforme, www.digitalbuilding.lu qui met à disposition des professionnels du secteur de la construction, le Guide d’application du Building Information Modeling, ses annexes mais aussi les tenir informés des actualités concernant le BIM.
Pour déployer le Building Information Modeling (BIM) au Luxembourg, le Centre de Ressources des Technologies et de l’Innovation pour le Bâtiment (CRTI-B), qui regroupe tous les acteurs de la construction, a en effet formé plusieurs groupes de travail, dont un composé de membres de l’Ordre des Architectes et Ingénieurs et pour lequel, BIMConsult est intervenu comme rédacteur et conseiller technique en collaboration avec Argest. Oui Daniel, on ne t’oublie pas, bien au contraire 😃
On vous le donne en mille…
Le guide d’accompagnement reprend à travers trois parties distinctes, les éléments essentiels pour permettre aux acteurs de la profession de conduire un projet en BIM de façon optimale :
Il définit ainsi une méthodologie pour les acteurs de la profession qui souhaitent développer une démarche BIM, notamment via des projets pilotes, mais aussi une base de référence pour les différents groupes de travail du CRTI-B, qui le feront évoluer au fil des retours d’expériences et des avancées concernant le BIM.
Rien n’est jamais figé dans le marbre avec le BIM… Chez BIMConsult, nous partons du constat que tout peut être implémenté… bon d’accord AMÉLIORÉ… C’est juste qu’on aime beaucoup ce terme d’implémentation dans le BIM. 😁 😏
Pour faire évoluer le Guide, des experts (et devinez lesquels 😉) accompagneront la mise en œuvre du BIM au sein de trois projets pilotes retenus par l’OAI suite à un appel à candidature. Les trois équipes ont d’ores et déjà été sélectionnées pour travailler sur des projets d’envergures différentes et aux fonctions diverses afin d’obtenir un maximum de retours d’expériences.
Le Guide, dont l’initiative est soutenue par le gouvernement, vise ainsi à accompagner les membres dans cette transition vers le BIM, qui s’impose comme la solution d’avenir dans le secteur de la construction.
BIM et cas d’usage… C’est vrai qu’on aime faire durer le Plaisir chez BIMConsult. Mais c’est tout simplement parce que tout vient à point à qui sait attendre… 😁
Et bien le voilà… C’est le moment de vous parler de notre dernier volet sur les cas d’usage ! Mais avant toute chose, pour tous ceux qui veulent se remémorer les 14 premiers cas d’usage… ➡ https://bimconsult.lu/1-2-21-cas-dusage-part-i/ et https://bimconsult.lu/ils-sont-arrives-cas-dusage-part-ii/
C’est parti pour nos 7 derniers cas d’usage, qui, si je ne m’abuse nous conduisent à nos 21 cas d’usage de base BIM.
Il s’agit ici de modéliser précisément certains éléments en définissant les gabarits et les découpes indispensables à la préfabrication, puis à la mise en place sur chantier. Cet usage s’apparente aux usages 6 et 7 de notre dernier volet. ➡ https://bimconsult.lu/ils-sont-arrives-cas-dusage-part-ii/. Seulement, il implique un niveau de détaille beaucoup, beaucoup et même beaucoup plus élevé… Pas de panique, ça se passe bien quand on est accompagné 😉
Ce n’est ni plus ni moins que la mise à jour de la maquette finale (géométrie + information) et du corpus documentaire associé. Le but : les livrer au Maitre d’Ouvrage comme dossier « As-Built ». You can do it ! 💪 💪
Mettre en place un plan de maintenance des différents éléments du bâtiment tout au long de son cycle de vie en exploitant l’information contenue dans la maquette d’exploitation… Finalement de l’organisation mais avant tout de la projection…
On est dans le concret. Cet usage consiste à compléter la maquette d’exploitation par des valeurs réelles mesurées dans le bâtiment (consommations, températures, luminosité, débits d’air, etc…). Ces valeurs pourront être comparées à celles estimées en phase conception sur la base de simulations. Là, on vous renvoi aux usages 2 à 4 de notre dernier volet. ➡ https://bimconsult.lu/ils-sont-arrives-cas-dusage-part-ii/
Le moment est venu ! Il s’agit maintenant de lier une maquette exploitation à un système de GMAO afin d’exploiter l’information qu’elle contient pour planifier et gérer les interventions de maintenance, que ce soit de manière préventive ou corrective.
Ça ne vous rappelle rien ? Oui, c’est ça, ce magnifique billet publié le 20 avril. ➡ https://bimconsult.lu/gmao-bim-exploitation-optimisee/
Un lien bilatéral permettra de mettre à jour la maquette à partir des informations recueillies à l’issue des interventions.
Puisque qu’on parle de lier la maquette d’exploitation, devinez ? Ce cas d’usage vise à lier une maquette exploitation à un système de gestion des espaces afin d’exploiter l’information qu’elle contient. le but : planifier et gérer l’occupation du bâtiment, les déménagements, le mobilier… A nouveau, un lien bilatéral permettra de mettre à jour la maquette à partir des informations recueillies à l’issue des changements.
Nous y sommes, voici le dernier… Quel résultat ? Ce cas d’usage consiste à utiliser la maquette pour présenter le projet au travers d’images et de vidéos, afin d’en expliquer les concepts architecturaux et techniques. Moyennant des dispositifs techniques avancés, il pourra être envisagé de mettre en place des visites virtuelles.
Ça y est, vous savez tous sur les 21 cas d’usages BIM de base… enfin presque tout… Surtout, si besoin, nous sommes là 😁 😉
On l’attendait depuis un moment et il est arrivé ! Quoi ? Le premier permis de construire numérique, qui a été délivré en France, en région parisienne et plus précisément à Bussy-Saint-Georges, pour un ensemble de 109 logements sociaux…
Cette grande première, pour un projet de 82 appartements dans cinq immeubles classiques et 27 logements dans des maisons jumelées, confirme bien que la 3D et la modélisation numérique continuent leur avancée dans la construction et l’immobilier, ce qui n’est pas pour nous déplaire 😉
Il est important de souligner que le dossier, instruit par Emmaüs Habitat et l’architecte François Pélegrin, a été pleinement appuyé par la commune et l’aménageur Epamarne…
Bien que déposé en version papier et concernant un projet immobilier, qui vous nous direz « n’a rien de révolutionnaire », ne sous-estimez pas le travail accompli et l’avancée que cela représente pour le milieu de la construction… En effet, l’instruction a été réalisée à partir de la maquette numérique réalisée par l’agence Architecture Pélegrin, qui a intégré les données relatives aux 14 articles du plan local d’urbanisme (accès et voirie, réseaux, implantation des constructions par rapport aux voies et emprises publiques ou aux limites séparatives du terrain, hauteur des constructions, emprise au sol, aspect extérieur…).
La visualisation en 3D permet une compréhension rapide avec un temps de découverte réduit et l’instructeur peut évaluer la conformité du projet par rapport au plan local d’urbanisme (PLU).
Dès les prémices, le maître d’ouvrage peut par exemple choisir les matériaux et les surfaces, et évaluer ainsi le confort thermique des bâtiments…
Le BIM permet, une fois maîtrisé 😉, de tendre au « 0 défaut » grâce à la fiabilité des données… Il est finalement une garantie de performance de l’esquisse à la livraison et permet ainsi transparence et confiance 👍
Oui… le BIM donne la possibilité à toutes les parties prenantes de s’assurer de la cohérence du projet et d’apporter leur vision.
Vous nous direz que l’avant-projet peut prendre plus de temps pour intégrer les détails du projet 😠… Mais grâce au BIM on peut intégrer la conception, la construction et l’exploitation des ouvrages, gagner en fiabilité (comme nous l’avons dit précédemment 😁) et en qualité, donc, donc, donc… d’optimiser les coûts.
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Tout laisse à croire que ça ne saurait tarder pour les autres pays… Affaire à suivre…