Le jumeau numérique : technologie innovante et défis pour concevoir un double virtuel des territoires

Le jumeau numérique : technologie innovante et défis pour concevoir un double virtuel des territoires

Les jumeaux numériques révolutionnent la modélisation virtuelle en offrant des répliques dynamiques avec données en temps réel.

  • Technologie évolutive passant du modèle manuel à l’automatisation complète, avec un marché projeté à 73,5 milliards USD en 2027
  • Applications multisectorielles touchant l’ingénierie, l’urbanisme, la gestion énergétique et la médecine
  • Transformation de la gestion territoriale par des simulations climatiques et l’optimisation des infrastructures
  • Défis persistants incluant les coûts élevés, la complexité technique et l’accès aux données de qualité

Le jumeau numérique représente une révolution technologique majeure pour la modélisation et la simulation de systèmes complexes. Né en 2002 sous l’impulsion de Michael Grieves et John Vickers de la NASA, ce concept s’est rapidement imposé comme un outil stratégique dans de nombreux secteurs. En 2025, alors que les défis environnementaux et urbains s’intensifient, cette technologie offre des perspectives inédites pour comprendre, anticiper et optimiser les systèmes réels dans leur environnement numérique.

Qu’est-ce qu’un jumeau numérique et comment a-t-il évolué?

Un jumeau numérique constitue une réplique virtuelle dynamique d’un système réel, permettant de visualiser, simuler et prédire son comportement dans diverses conditions. Ce concept dépasse largement la simple modélisation 3D en intégrant des données en temps réel et des capacités prédictives avancées. Selon Alejandro A. Franco, expert reconnu dans ce domaine, trois niveaux d’interaction caractérisent l’évolution de cette technologie:

1. Le modèle physique ou numérique – avec des données récoltées et intégrées manuellement

2. L’ombre numérique – où les données sont collectées automatiquement mais les résultats appliqués manuellement

3. Le jumeau numérique proprement dit – caractérisé par l’automatisation complète du processus

La progression vers un véritable jumeau numérique représente donc un parcours technologique exigeant. En chimie par exemple, la plupart des applications restent au stade de l’ombre numérique, témoignant des défis techniques persistants. L’essor de la réalité virtuelle et augmentée constitue néanmoins un facteur d’accélération significatif pour ces technologies.

Le marché mondial des jumeaux numériques connaît une croissance fulgurante, avec une valeur estimée à 73,5 milliards USD pour 2027 selon les projections établies en 2022. Cette expansion témoigne de l’adoption croissante de cette technologie dans des domaines aussi variés que:

  • L’ingénierie de systèmes complexes
  • L’industrie automobile et aéronautique
  • La construction et l’urbanisme
  • La gestion énergétique
  • La médecine et l’océanographie

Cette diversification des applications illustre la polyvalence inhérente aux jumeaux numériques, capable de s’adapter à des contextes toujours plus variés et ambitieux.

Pourquoi un jumeau numérique pour les territoires?

La modélisation numérique des territoires répond à des enjeux majeurs d’aménagement et d’adaptation aux changements climatiques. Le jumeau numérique territorial offre une vision systémique permettant d’aborder des problématiques complexes avec une approche intégrée et prospective. Cette technologie transforme radicalement la gestion territoriale en proposant:

Fonction Avantage territorial
Simulation climatique Anticipation des impacts locaux du changement climatique
Modélisation urbaine Optimisation des infrastructures et de la mobilité
Gestion patrimoniale Conservation et valorisation des bâtiments historiques
Planification énergétique Déploiement efficace des énergies renouvelables

Le projet français de Jumeau numérique de la France, porté conjointement par l’IGN, le Cerema et Inria, illustre parfaitement cette ambition territoriale. Cette initiative vise à cartographier l’intégralité du territoire national pour simuler différents scénarios d’aménagement et d’adaptation climatique. Les collectivités locales s’approprient progressivement ces outils, comme en témoigne l’utilisation du Ceremap3D par Montpellier Méditerranée Métropole ou le Département des Alpes-Maritimes pour numériser leur patrimoine d’infrastructures.

À l’échelle internationale, des villes comme Singapour et Rennes se positionnent comme références en matière de jumeaux numériques urbains. Ces smart cities exploitent les technologies numériques pour optimiser leurs services, améliorer la qualité de vie des habitants et renforcer leur résilience face aux défis contemporains. L’initiative européenne de jumeau numérique de l’océan, annoncée lors du One Ocean Summit 2022 à Brest, élargit encore cette vision en proposant une modélisation océanique capable d’éclairer les décisions politiques et de favoriser un développement économique maritime durable.

Le jumeau numérique : technologie innovante et défis pour concevoir un double virtuel des territoires

Le futur des jumeaux numériques: applications innovantes et défis persistants

L’avenir des jumeaux numériques s’annonce prometteur, avec des applications concrètes déjà opérationnelles qui témoignent de leur potentiel transformateur. Parmi les réalisations les plus marquantes figurent:

  1. Les laboratoires autonomes en Amérique du Nord et Allemagne, où des robots guidés par des modèles numériques réalisent des synthèses chimiques complexes
  2. L’optimisation de fabrication de batteries par intelligence artificielle et machine learning
  3. La table vibrante Azaléee du CEA, simulant des séismes pour tester la résistance des structures
  4. L’écosystème N-dam, déployé pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris après l’incendie de 2019
  5. Les jumeaux numériques d’organes, ouvrant de nouvelles perspectives en médecine préventive et personnalisée

Malgré ces avancées impressionnantes, plusieurs défis majeurs persistent. Le coût élevé de développement limite l’accès à cette technologie, tandis que la complexité technique inhérente à la modélisation de systèmes aux interactions multiples demeure un obstacle considérable. La qualité et l’accès aux données représentent également des enjeux critiques, comme le souligne Marc Barthelemy concernant la situation française.

Les difficultés prédictives constituent un autre défi de taille. Même pour des questions apparemment circonscrites, comme l’impact de la fermeture des voies sur berges à Paris, les prédictions restent souvent approximatives, illustrant les limites actuelles des modèles numériques face à la complexité des systèmes réels.

L’évolution des jumeaux numériques dépendra largement de notre capacité à surmonter ces obstacles, notamment en développant des approches collaboratives et en favorisant les écosystèmes d’innovation ouverte. La convergence avec d’autres technologies émergentes, comme l’intelligence artificielle et l’internet des objets, pourrait également accélérer leur maturation et étendre leur champ d’application à des domaines encore inexplorés.

Adoption du BIM en Europe

Adoption du BIM en Europe !

Mais où en sommes-nous ??

Vous le savez, le monde qui nous entoure devient chaque jour plus avancé sur le plan technologique. Avec l’urbanisation croissante et les villes intelligentes, les pays du monde entier ont commencé à prêter attention au BIM.

Voyons comment les différents pays européens progressent dans l’adoption du BIM. 🧐📈

Tout d’abord, sachez qu’en 2016, la valeur estimée du marché du BIM en Europe était de 1,8 milliard d’euros et qu’elle devrait atteindre 2,1 milliards en 2023. Oui, oui ! Vous avez bien lu… 2,1 milliards d’euros ! 😲

L’Autriche et la Norvège ont été les premiers pays à mettre en place des normes BIM ouvertes et un mandat BIM ouvert exigeant la mise en œuvre du BIM de niveau 3 pour tous les projets publics, respectivement en 2015 et 2016. La Suède, la Finlande, le Royaume-Uni, le France et la Russie ont suivi le mouvement en mettant en place des mandats BIM de niveau 2 et ont d’ores et déjà adapté différents calendriers de passage au BIM de niveau 3.

Mais… Qu’est-ce qu’un niveau BIM ?

C’est simple vous allez voir. Qui dit normes BIM, dit différents niveaux de BIM. Ces niveaux vont de 1 à 3 en fonction du niveau de maturité BIM. Le niveau 1 est assigné lorsqu’il y a absence de collaboration, et que les modèles sont utilisés « pour soi ». Le niveau 2 introduit les échanges de modèles asynchrones, dans un format interopérable. Le niveau 3, quant à lui, est donné dans le cas d’un travail collaboratif synchrone via une maquette numérique unique partagée. Vous voyez, on vous avait dit que c’était simple. 😉

Pour structurer leur BIM, de nombreux pays ont mis en place des programmes BIM nationaux ou des organisations gouvernementales en charge d’un programme BIM. C’est notamment le cas en Allemagne, France, Finlande, Pays-Bas, Norvège, Espagne, Royaume-Uni ou encore au Danemark.

Le souci, nous direz-vous ?

Les pays européens vont devoir faire face aux risques liés à cette absence de coordination entre eux. Il n’est jamais simple de mettre tout le monde d’accord, n’est-ce pas ? 😅

Pour régler ce détail avant qu’il ne pose trop de problème, un groupe de travail européen BIM a été créé : l’UE BIM Task Group. Ce groupe est un réseau échangeant autour des compétences du secteur public dans le BIM. Son objectif ? Encourager l’adoption du BIM par le secteur public européen afin d’améliorer la rentabilité et la qualité des constructions publiques mais aussi la durabilité de l’industrie en Europe.

On espère aussi voir apparaitre de plus en plus de documents normatifs à l’échelle européenne, comme par exemple la récente norme ISO 19650.

Le BIM de demain

Si aujourd’hui on voit le BIM avant tout comme un moyen de mieux collaborer et de produire le « jumeau numérique » du futur bâtiment à exploiter, des opportunités encore plus innovantes s’offrent à nous pour l’avenir. Parmi les nouveaux usages envisagés dans la thématique « green building », il est question de prendre en compte l’empreinte carbone d’un bâtiment et de ses matériaux avant sa construction et le taux de recyclabilité des matériaux avant sa déconstruction. Sans oublier la possibilité d’associer BIM et IOT pour contrôler les comportements effectifs d’un bâtiment et leurs impacts sur sa consommation d’énergie.

Vous l’avez compris, le BIM s’impose progressivement dans les consciences comme une solution de plus en plus intéressante pour optimiser les processus durant tout le cycle de vie des bâtiments.

Et au Luxembourg alors ? Eh bien au Luxembourg, le CRTI-B propose des outils et méthodes ainsi que des formations adaptées depuis la première publication du « Guide BIM Luxembourgeois » en 2018. Et si vous avez besoin d’une assistance plus personnalisée, on est là pour vous accompagner. BIM Ready, BIM AMO, BIM Manager ou encore BIM services, nous avons un panel de services à vous proposer.

Alors, vous vous lancez dans l’aventure BIM avec nous ? 😉

De la 2D à la 7D

À l’ère de la numérisation, l’innovation BIM est passée des dimensions de base 2D, 3D et 4D à des niveaux de plus en plus avancés et plus profonds tels que les dimensions BIM 5D, 6D et 7D. Besoin d’un récap ? 🤓 C’est parti !

Dans les premiers outils BIM 3D, des informations contextuelles sont ajoutées au modèle tridimensionnel : les matériaux proposés ou les mesures effectuées ; ce qui est très utile pour représenter des projets très complexes. Une autre avancée a été le BIM 4D, où la dimension temporelle est intégrée, c’est-à-dire les informations sur les délais de fourniture et d’exécution nécessaires à la réalisation du projet. Ensuite, il y a eu le BIM 5D, où les coûts associés au processus de construction sont ajoutés. Avec le BIM 6D, les informations ajoutées concernent la soutenabilité des matériaux et leur empreinte écologique.

Ainsi, chaque mesure amplifie les données associées à un modèle pour apporter une compréhension plus profonde du projet. C’est bon, vous ne vous êtes pas perdu dans une dimension ? 😉 Maintenant, concentrons-nous sur la 7D : la maintenance.

On le sait, le coût d’exploitation d’un bâtiment sur une période de 30 ans peut être quatre fois supérieur à celui de sa conception et de sa construction. Oui, oui, 4 fois supérieur ! 😲 Mais le BIM 7D peut régler ça. Ah… on vous voit être un peu plus attentif tout à coup 😂 Allez, on vous explique comment ça marche !

Le BIM 7D concerne l’administration des installations par les gestionnaires et les propriétaires de bâtiments. Il est utilisé pour suivre les données importantes de ceux-ci telles que l’état général où celui de matériaux spécifiques, les informations de garantie, les spécifications techniques, etc…

Le BIM 7D est une approche unique où tout ce qui concerne le processus de gestion des installations est rassemblé en un seul endroit, dans le modèle d’information du bâtiment. L’utiliser contribue à améliorer la qualité de la prestation de services pendant tout le cycle de vie d’un projet. L’utilisation du BIM 7D garantit que tout dans le projet reste en bon état, de son premier jour jusqu’à sa démolition.

Finalement, avec le BIM 7D, nous clôturons le cycle de vie du projet.

Mais il ne s’arrête pas là… il aborde également l’aspect crucial de la durabilité des bâtiments. Il est vraiment fort celui-là ! 💪

Alors que son objectif principal est de coordonner l’estimation du coût de vie complet du bâtiment pour aider les constructeurs à prendre des décisions qui dépendent des informations sur les performances, le BIM 7D va plus loin encore. Au cours de certaines recherches, il a été découvert qu’il pourrait aider à atteindre au Royaume-Uni l’objectif zéro carbone net d’ici 2050 et une réduction de 33% du coût de la vie entière du bâtiment d’ici à 2025 !

Alors, le BIM 7D n’a-t ’il pas un grand potentiel pour ouvrir une autre voie dans le monde de la construction ? 🍃 😏

La 4D : pratico-pratique…

Pour ce nouveau poste de rentrée (et oui, nous sommes tous de retour :( ) nous avons choisi de vous faire part d’un retour d’expérience que votre humble serviteur, BIMConsult, a pu réaliser récemment sur le cas d’usage 4D ! Avis aux amateurs…

What happened?

Un client souhaite payer l’entreprise générale en charge du projet, en fonction de l’avancement réelle sur site. Cela prend du sens vous nous direz ;) Pour y parvenir, il applique donc la 4D à son chantier et par conséquent le cas d’usage en lien.

How does it work?

Et oui, plusieurs points essentiels doivent être pris en compte pour garantir la réussite du chantier… La mise en place d’un tel processus ne se fait pas en 5 minutes et nécessite une bonne connaissance de la technique, des logiciels mais le plus important, une implication totale de tous les intervenants.

Pour garantir le succès d’une telle application, réfléchissons à 3 points clés : ce que nous avons, ce que nous voulons et bien sûr comment le mettre en place

What do we have?

– Des maquettes Revit de toutes les disciplines.

– Le logiciel de planification Primavera.

–  Le logiciel Navisworks manage pour la 4D.

– Une volonté affirmée et affichée de toute l’équipe ! :)

What did (sorry) do you expect?

Suivre l’avancement du projet en temps réel et le comparer à ce qui a été prévu, pardi !

 

How to make it happen?

Les clés de la réussite en synthèse :

– Pouvoir identifier chaque objet des maquettes.

Lier ces objets à un planning.

– Connaitre la date de pose de l’objet.

– Garder un historique de l’évolution des éléments entre les différentes versions.

MAIS AUSSI, afficher tout ça en 3D avec de jolies couleurs car la vie en couleur c’est mieux :)

Application…

Dans les starting-block… On met les mains dans le moteur, âmes sensibles s’abstenir, ça va être du lourd 😉

Quelles sont les tâches que nous avons du accomplir pour déployer ce processus ?

Au préalable, un paramètre partagé Revit a été réalisé, appliqué à tous les éléments de la maquette. Ce paramètre contient la date de pose de l’élément.

  1. Créer un projet Navisworks.
  2. Lier la Base de données Primavera à Navisworks afin de récupérer le planning (toute une histoire, mais on y est arrivé).
  3. Ensuite, il a fallu lier les éléments aux différentes tâches du planning. Pour cela, nous avons utilisé la classification, la zone et le nom de l’étage (Chaque élément possédait un numéro de classification Uniformat ce qui nous a permis de filtrer les objets de manière « rapide »).
  4. Affecter ces éléments aux tâches du planning.

Une fois ce travaille effectué, nous avons extrait toutes les dates de pose de chaque élément dans un fichier Excel, afin d’en créer une base de données et aussi pouvoir extraire ces valeurs à chaque révision de la maquette (une révision tous les mois). CECI NOUS A PERMIS DE FAIRE UN SUIVI DE L’ÉVOLUTION DE CHAQUE ÉLÉMENT.

Non, ce n’est pas fini !

Ensuite, nous avons du utiliser la fonction data Tools de Navisworks pour lier cette base de données afin de voir l’historique de pose de chaque élément dans ses propriétés.

Grâce à cette valeur de pose, nous avons pu mettre en couleur les éléments installés sur site et ensuite les comparer au prévisionnel et au réel.

 To conclude…

Oui, c’est bien possible et devinez grâce à quoi ? Au BIM bien entendu, qui est et reste à nos yeux la collaboration de personnes motivées autour de solutions informatiques innovantes. Si tous les acteurs jouent leur rôle et qu’un BIM Manager s’assure de la bonne implémentation des informations alors, ENSEMBLE, nous ferons évoluer notre métier.

BIM 4D… QUÈSACO ?

De la 3D avec en plus une information de temps… Oui oui c’est bien ça ! On vous explique tout…

Dans un projet en BIM, le bâtiment est modélisé élément par élément (porte, fenêtre, mur…). Pour rappel, on construit VIRTUELLEMENT le bâtiment comme on va le construire en RÉALITÉ (terrassement, fondations… et bien sûr finitions ;-)

Chaque projet, peu importe qu’il soit réalisé en BIM ou pas a pour impératif le respect du planning. Et oui, comme toujours, le planning on y revient !

L’utilisation de la 4D dans un projet BIM a donc pour objectif de simuler virtuellement le planning précis et réel de construction du bâtiment.

Mais comment fait-on pour y arriver ?

Durant la réalisation de la maquette, nous allons lier des informations spatio-temporelles à chaque élément (lieux de stockage, d’approvisionnement, date de pose de l’élément, durée d’installation…), ce qui permet de définir précisément la durée du chantier… On vous l’avait dit… C’est quand même pas mal le Bim :-)

bim-4-d-quesaco-3Mais ce n’est pas tout…

Cela permet également d’anticiper la mise en place d’éléments spécifiques (centrale de ventilation, mobilier encombrant…) en simulant leur manutention et l’impact sur les autres corps de métiers… Et oui, grâce au BIM 4D, plus de problème sur le chantier du type « je n’avais pas prévu que la porte serait trop petite pour faire rentrer le canapé… ».

On pourra donc visualiser les différentes phases de construction, depuis l’installation de chantier jusqu’à la livraison, la maquette étant reliée directement au planning de GANT du chantier. Je modifie la maquette, le planning est modifié instantanément et vice versa.

Outil de simulation certes, mais pas seulement !

Grâce au BIM 4D, on vérifie l’état d’avancement du chantier par rapport au modèle 4D et on peut donc estimer tout de suite l’incidence d’un retard. Ne reste plus qu’à mettre en place des scenarii réalistes pour compenser le retard et donc respecter le planning initial.

Et l’aspect pédagogique dans tout ça ?

Finalement, le BIM 4D c’est votre notice de montage pour ne passer à côté d’aucun détail…

clock2

 

Alors, vous vous y mettez quand ?