Publications par Denis Lecanu

Paroles d’experts !

BIM : bilan et perspectives… Le déploiement du BIM s’est poursuivi en 2017 dans le monde de la construction avec de nombreux freins qui disparaissent progressivement aux vues des premiers projets menés via ce processus collaboratif… Les retours d’expériences se font de plus en plus nombreux, notamment au Grand-Duché 😉, permettant ainsi d’affiner les méthodes de travail et d’aller progressivement vers un « full » déploiement. Mais où en est-on aujourd’hui et où allons-nous demain ? Pour ce début d’année, Hexabim nous propose une série de témoignages de 7 invités-experts au sujet des évolutions BIM durant 2017 et pressenties pour 2018… 👍 Et bien entendu, qui dit expert, dit Mehdi, le gérant bien aimé de BIMConsult 😃 mais pas seulement… Retrouvez également dans cet article les points de vue de : • Alexandre Cuvier – Président Fondateur de BIM BAM BOOM, • Christophe LHEUREUX – Directeur délégué à l’Innovation et au Bâtiment intelligent chez Immobilière 3F, • Gabriel CASTEL – BIM Development Manager chez ALLPLAN, • Jean-Baptiste VALETTE – Directeur Adjoint Ingénierie Avancée chez Vinci Construction France, • Luca DAL CERRO – Directeur des Opérations et du Développement BIM Factory chez ENGIE, • Souheil SOUBRA – Directeur Technologies de l’Information chez CSTB. Bonne lecture ! ➡ article hexabim Finalement, le BIM n’est-il pas simplement une suite logique à la digitalisation du monde du BTP ? L’avènement du DAO (Dessin Assisté par Ordinateur 🖥) dans les années 80 en était la première forme et a permis de véritablement démocratiser l’usage du numérique… Les professionnels quittaient alors leur « bonne vieille table à dessin »✏. Les supports de travail ont ensuite évolué, avec le déploiement des technologies mobiles qui ont peu à peu apporté le numérique sur le chantier : un nouveau bouleversement pour toutes les entreprises qui y voit aujourd’hui les bénéfices pour leur activité. C’est pourquoi, finalement, nous devons voir « l’ère du BIM » comme une nouvelle étape clé de la digitalisation qui va très rapidement permettre à tous de gérer le cycle de vie complet d’un bâtiment, depuis les esquisses en passant par la conception du projet et sa construction, ainsi que sa gestion et sa maintenance. Le BIM, vous vous y mettez quand ?

Bimmy Christmas ! Retour sur 2017, avant… 2018 😃

21 articles plus tard, nous achevons cette année avec vous en espérant que vous aurez appris énormément avec vos humbles serviteurs : Mehdi, Gilles, Daniel et Alexis… Ce qui est certain, c’est qu’en 2018, votre équipe de petits lutins continuera à travailler en coulisse pour vous accompagner dans la concrétisation bimesque de tous vos projets 😏 Avant de lancer les festivités et vous souhaiter de très belles fêtes de fin d’année, nous vous proposons un petit flashback sur 5 articles marquant de cette année… Bonne découverte ou redécouverte pour nos fidèles lecteurs ! 🔍 Generative Design Un billet posté le 7 décembre qui met en exergue l’intérêt de ces outils de conception pour produire des formes optimales pour les produits et les bâtiments, bien au-delà de ce qu’un humain seul pourrait créer ! ET oui, la technologie a aussi du bon… Lire la suite.   On vous dit tout… en 4 min chrono ! Un post du 28 septembre qui répond à toutes vos questions… Le BIM est-il obligatoire à Luxembourg ? Existe-t-il des documents qui peuvent m’aider ? Pourquoi avoir un BIM manager ?… On nous pose souvent des questions dont les réponses méritent d’être connues de tou(te)s 🤔 C’est pourquoi nous avons créé une FAQ, rien que pour VOUS ! Lire la suite. La 3D débarque sur chantiers ! Vous avez particulièrement aimé cet article du 15 juin qui reprend une interview de Mehdi dans Neomag. Réalité virtuelle et réalité augmentée ont déjà fait leurs preuves dans plusieurs secteurs… Elles se développent aujourd’hui sur les chantiers de construction et chacune a son propre intérêt… Mehdi vous dit tout ! Lire la suite. GMAO + BIM = exploitation optimisée En quoi les logiciels de Gestion de Maintenance Assistée (GMAO) combinés au processus BIM permettent d’optimiser l’exploitation, c’est tout l’intérêt de cet article du 20 avril… Le challenge est bien d’arriver à trouver un langage informatique commun entre le logiciel de GMAO et la maquette numérique. Lire la suite. Lean et BIM, même combat ! Expliquer simplement en quoi le BIM s’inscrit dans la même logique que le Lean et pourquoi, oui ! C’est tout l’intérêt de ce billet paru le 9 février… Il ne nous reste plus qu’à vous dire, Yoku yomimasu… Oups, pardon, bonne lecture ! 🤓 Lire la suite.   En conclusion, nous vous souhaitons de MAGNIFIQUES FÊTES de fin d’année et parce que chez BIMConsult, on a toujours un train d’avance, une TRÈS TRÈS BELLE ANNÉE 2018 !

Generative Design

Generative Design, quèsaco ? Les outils de conception générative ou generative design permettent de produire des formes optimales pour les produits et les bâtiments, bien au-delà de ce qu’un humain seul pourrait créer ! ET oui, la technologie a aussi du bon 😉 Non, non, on n’en rajoute pas… promis ! Grâce à la puissance de traitement du cloud computing (exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l’intermédiaire d’un réseau, généralement internet) et de l’Intelligence Artificielle, les logiciels de conception générative ont la faculté de tester tous les scénarii de conception et donc de repousser les limites de la création. Le logiciel peut ainsi automatiquement rendre un bâtiment plus résistant, sa structure plus légère… 😃. Finalement, mêler intelligence humaine pour la définition des objectifs, un ordinateur utilisant les algorithmes de l’intelligence artificielle, la puissance de calcul du cloud et les outils de conception générative permet de générer une conception optimale et révolutionne l’acte de créer, de concevoir et de fabriquer à tous les niveaux : géométrique, mécanique, thermique… Les solutions de conception générative permettent donc d’explorer des milliers/millions de choix de conception, les tester et évaluer lequel correspond le mieux au sujet. Ça fait rêver quand même… 💭💫 En résumé, on a tout à y gagner ! Vous nous direz « trop complexe à mettre en place, on y est pas encore… Peut-être, mais anticiper les évolutions futures de votre métier n’est-il pas le meilleur moyen de rester compétitif et de garantir l’avenir de votre entreprise ? Concrètement le generative design vous ouvre le champ du possible et vous permettra de : Gagner du temps : alors que les ingénieurs travaillent sur une étude, l’ordinateur traite différents scénarii et identifie les meilleures solutions pour l’ingénieur. Finalement, ne serait-ce pas l’assistant idéal dont tout le monde rêve ? Stimuler la créativité : la conception générative produit des milliers d’idées et explore ainsi des pistes insoupçonnées. Stimulateur de créativité, non ? Faire des économies : en simulant de multiples scénarii de conception, vous limiterez les essais onéreux. Pensez coût à moyen et long termes ! 💶💶💶 Tenter des géométries complexes : la conception générative, associée à l’impression 3D, permet des géométries complexes, inédites jusque-là… A l’impossible nous sommes tous tenus ! Enfin, créer des algorithmes aussi complexes, pas évident quand même ! Méthodologie, méthodologie, méthodologie… Ne pas se lancer à l’aveugle est la clé du succès. Pour cela, 3 grandes étapes doivent être respectées : Établir un schéma de conception : évaluer les objectifs, définir les contraintes. Produire les solutions respectant les différents objectifs et jouer avec les variations de paramètres pour affiner les résultats. Analyser et choisir la ou les solutions. Ce n’est pas forcément noir ou blanc ;) Objectifs, contraintes mais concrètement ? Pas si compliqué… Par exemple, les quelques contraintes pour la conception d’un bâtiment pourraient être : son orientation, la surface et la disposition de chaque pièce, les normes thermiques, structurelles ou encore les points lumineux artificiels. Une fois ces contraintes définies, le generative design permettra d’automatiser le calcul des différentes solutions. L’architecte n’aura plus qu’à choisir l’une d’entre elle pour l’implémenter dans son projet directement ou s’en servir de base pour concevoir une maquette finale. Les outils ? Le projet Dreamcatcher d’Autodesk respecte les différentes étapes du processus de generative Design. Basé sur un système de cloud, il permet à l’utilisateur de paramétrer ses objectifs et contraintes de conception et de générer une multitude de solutions y répondant. Bien qu’aujourd’hui l’outil n’ait été essentiellement utilisé que pour la création de pièces et de composants fonctionnels, il peut être exploité pour la réalisation complète d’un bâtiment ! Alors, vous vous lancez ? 🤔

BIMLUX2017

BIMLUX2017, vous l’avez manqué ? Dommage… 😭😧 😧   Organisée en collaboration avec Neobuild, l’OAI et le LIST, la troisième édition de ce rendez-vous incontournable pour tous les professionnels de la construction a fait salle comble avec plus de 250 personnes (Et oui, on a dû clôturer les inscriptions faute de place 😣). 12 intervenants se sont relayés à la Chambre des métiers du Luxembourg pour faire un point d’état sur l’avancée du BIM au Luxembourg et en Europe. Après une introduction de Thierry Hirtz, Président du Centre de ressources des Technologies et de l’Innovation pour le Bâtiment, Xavier Bettel, notre premier ministre (il adoooore le BIM👍) est intervenu sur la vision politique du «Digital Lëtzebuerg». « Le digital est partout et tous les secteurs sont confrontés aux même questions et défis. L’évolution est en marche et nous ne pouvons plus reculer. Celui qui n’avance pas restera en marge ». Nous, nous sommes d’accord… A bon entendeur… 😉 Moreno Viola, chargé de direction au CRTI-B a ensuite retracé le développement de la thématique BIM par cette institution, de la naissance du groupe de travail aux défis qu’elle devra désormais relever : formation, certification, volets juridiques et d’assurance, enjeux avec la construction durable, l’économie circulaire… Parmi les autres orateurs : Sylvain Kubicki, docteur en Sciences de l’architecture au LIST, a évoqué les innovations qui relient le procédé BIM et la construction durable dans un contexte où les pme doivent faire face au challenge de rester compétitives dans un marché européen très dynamique. Marzia Bolpagni de l’Université Polytechnique de Milan qui a soulevé la nécessité de travailler ensemble sur la standardisation européenne des normes et des règlementations pour implémenter le BIM en Europe. Elle a d’ailleurs cité notre tout nouveau collaborateur, Daniel Zignale, qui travaille avec elle dans un des groupes de travail du Comité Européen de Normalisation (CEN). L’architecte français également, Hughes Klein, pour qui le BIM est une condition importante pour créer de l’architecture innovante. Il permet d’anticiper, de concevoir pour évaluer de manière sensible l’expérience souhaitée. Au niveau luxembourgeois, Céline Goeury (Coeba) a exposé la rénovation d’une résidence de 24 logements au Kirchberg pour le Fonds du Logement et le bureau Drees & Sommer a, quant à lui, présenté le projet du Centre Hospitalier Emile Mayrisch. Sophie Brouwers de la société CLK a montré, quant à elle, comment le BIM, associé à des lunettes virtuelles permettait à tout client de visualiser en 3D chaque pièce et recoins de sa future résidence. Si le BIM décline ses atouts positifs en termes d’optimisation, de collaboration, d’échange d’information, de planification, d’augmentation de la qualité du bâti, de diminution des délais et des coûts (bon on arrête là😁) , David Determe, a pour sa part, rappelé les règles essentielles pour réellement y parvenir, sur base de retours d’expérience des 3 projets pilotes suivis par l’OAI. Et en Bonus, de nombreux professionnels du secteur, dont votre humble serviteur 😀, étaient présents sur des stands pour répondre à toutes les questions… Oui, le BIM ça marche, encore ne faut-il pas brûler les étapes… C’est pourquoi nous sommes là pour vous accompagner ! Rendez-vous en 2018 pour la prochaine édition ! Un lien intéressant à découvrir : www.digitalbuilding.lu

BIM in the US

Il y a quelques mois, une poignée de journalistes français, anglais et allemands s’envolaient pour Boston (petits veinards ;) ) pour participer à l’Autodesk AEC Media Summit, un des rendez-vous incontournables pour découvrir les nouveaux produits qui vont ou devraient faire bouger les frontières que nous connaissons aujourd’hui dans la construction et plus largement dans l’industrie. Présentation de produits, discours, démonstrations, à travers notamment la visite et la découverte du *Build Space d’Autodesk à Boston, les journalistes ont pu découvrir entre autres l’état d’avancement du BIM aux Etats-Unis… Julien JEAN-PIERRE, rédacteur en chef des Cahiers Techniques du Bâtiment, la revue de référence technique pour le BTP en France, revient sur cette découverte à travers un article qui met en exergue la digitalisation de la construction aux États-Unis, et son avance (ou pas) par rapport à d’autres pays, ici la France. Comme on est gentils, pour les plus bookés, on vous fait un résumé des points essentiels :) En neuf, les nouveaux outils technologiques sont de plus en plus utilisés pour faciliter les différentes phases de la vie d’un bâtiment, de sa conception jusqu’à son exploitation. Côté rénovation, maquette numérique et BIM prennent une place grandissante. La puissance du digital qui permettra de réaliser les projets conformément au planning et au budget. La mission du Build Space qui a pour finalité de créer une vision partagée du bâtiment. De la réalité virtuelle pour la visite d’immeubles à l’optimisation d’appartement par déplacement automatisé du mobilier… Pour découvrir l’article dans son intégralité, c’est par ici : https://www.cahiers-techniques-batiment.fr/article/bim-in-the-usa.33681 Zoom sur le Build Space Après San Francisco, Autodesk a ouvert un incubateur à start-up dans ses locaux de Boston. Baptisé Build Space (Build pour «Building, Innovation, Learning, and Design»), il accueille des entreprises en phase de développement et leur fournit des moyens humains et matériels.

Du nuage de points à la maquette 3D…

Du géomètre à l’installateur, vous êtes tous concernés ! Le relevé numérique par nuage de points consiste à créer un bâtiment existant en 3D à partir d’un scanner ou d’un drone. Ah, technologie, quand tu nous tiens ;) Le scannage laser permet de restituer en 3D, point par point, chaque parti du bâtiment. C’est bien beau tout ça mais vous nous direz… Et la technique dans tout ça ! Et vous aurez raison. Le relevé numérique par nuage de points ne permet pas uniquement de modéliser des murs, une toiture… Grâce à lui, les installations techniques, comme une chaudière ou des conduits de ventilation par exemple, sont également représentés. Autre avantage non négligeable… Il donne la possibilité de vérifier la conformité lors du chantier. Les réservations réalisées correspondent-elles bien aux dimensions prévues des fenêtres ? Oui, c’est important quand même ;)   Mais une fois ce nuage de points obtenu, comment procéder ? Une fois réalisé, il sera intégré dans un logiciel de modélisation en 3D. Cette solution permet non seulement une grande précision mais aussi un gain de temps considérable ! Fini la prise de mesures sur site, la restitution dans son logiciel, le retour sur site en cas d’oubli… pour enfin réaliser la levée. Désormais, une personne manipule le scanner 3D, qui transmet ensuite toutes les informations au logiciel. Oui, mais bon, je n’ai pas très envie d’aller dehors, il fait froid et en plus il pleut ! Vous êtes sauvés. Il est possible de réaliser ce relevé à distance à l’aide d’un laser embarqué sur un drone. Sachez aussi que les nouveaux appareils sont capables de scanner indifféremment le jour ou la nuit, et en couleur. La pluie ne leur pose pas non plus de problème. Attention quand même lors du traitement du fichier à enlever les gouttes qui ont été scannées ;)   Et pour exploiter tout ça ? Une fois de retour au bureau, il y a plusieurs possibilités d’exploitation de ces nuages de points. La première est l’intégration du nuage de points sans modélisation. Le bâtiment est intégré tel quel. Ce mode de restitution peut permettre la modélisation d’objets spécifiques ne nécessitant pas l’apport d’information. La géométrie et l’emprise suffisent. Dans ce cas, le nuage de points ne sera donc pas un élément ou un objet dans le logiciel, tel que cela peut être le cas dans Revit ou Archicad… L’autre solution est la modélisation directement à partir du nuage de points. On re-modélise d’après le nuage pour créer des éléments dans son logiciel. Tout ceci pour, pour… y incorporer de l’information. :) La précision du laser facilite ainsi la modélisation dans le logiciel. On peut l’apparenter à du « décalquage ». Mais ce ne sont pas les seules options ! Un autre type de modélisation à partir d’un nuage de points est possible : l’automatisation. Le logiciel reconnait automatiquement les surfaces et crée lui-même des objets. Autant dire que cela facilite le travail du modeleur qui attribue uniquement des éléments à des surfaces et minimise ainsi le risque d’erreur.   Oui mais c’est cher ! On vous l’accorde, le coût est encore important mais de plus en plus de bâtiments étant voués à être numérisés via cette technique, tout porte à croire que cette technologie va très rapidement se démocratiser…   Aspect financier, facilité d’utilisation…. Affaire à suivre !

On vous dit tout… en 4 minutes chrono !

Le BIM est-il obligatoire à Luxembourg, existe-t-il des documents qui peuvent m’aider à migrer vers le BIM, pourquoi avoir un BIM manager au sein de son bureau, sa structure ? Frequently asked questions… Effectivement, on nous pose souvent ces questions… Et comme nous mettons un point d’honneur à vous faciliter la compréhension du BIM et vous informer sur son développement au Grand-Duché du Luxembourg, nous nous sommes dit qu’une petite FAQ pourrait bien aider nos lecteurs assidus mais aussi toutes celles et ceux qui découvrent le BIM… « Malinx le lynx »… désolé aparté publicitaire francophone :) Finalement, nous avons donc décidé de créer une nouvelle page sur notre site, une FAQ qui sera alimentée au fil des évolutions dans notre (et bientôt le vôtre 😉) domaine de prédilection : LE BIM ! Bonne lecture ! Pour accéder à notre FAQ, cliquez ici.  

We’re gonna miss you 😘

On imagine bien qu’on va vous manquer 😉  mais c’est effectivement le moment pour votre équipe de choc de faire une pause estivale… 😧 Pour celles et ceux qui ne partent pas tout de suite en vacances, nous penserons très fort à vous… Pour celles et ceux qui sont déjà sur la plage, vous auriez pu nous attendre quand même ! Pour tous, profitez bien du soleil, du moins quand il aura décidé de pointer le bout de son nez 😭 Dans tous les cas, nous vous retrouvons dès la rentrée avec plein de nouveaux sujets qui vous feront appréhender le BIM autrement. A très vite !

Le Guide d’application BIM au Luxembourg DISPONIBLE !

A télécharger sans modération… Le référentiel BIM pour tous les acteurs de la construction au Luxembourg est disponible! OUI, c’est vrai vous l’attendiez depuis un moment… On vous le promettait… Et bien… le voilà !!! 👍👍👍 Suite aux travaux des différents groupes de travail BIM constitués au sein du CRTI-B, ce dernier a lancé une plateforme, www.digitalbuilding.lu qui met à disposition des professionnels du secteur de la construction, le Guide d’application du Building Information Modeling, ses annexes mais aussi les tenir informés des actualités concernant le BIM. Pas encore téléchargé ? Hurry buddy ! 🏃 Pour déployer le Building Information Modeling (BIM) au Luxembourg, le Centre de Ressources des Technologies et de l’Innovation pour le Bâtiment (CRTI-B), qui regroupe tous les acteurs de la construction, a en effet formé plusieurs groupes de travail, dont un composé de membres de l’Ordre des Architectes et Ingénieurs et pour lequel, BIMConsult est intervenu comme rédacteur et conseiller technique en collaboration avec Argest. Oui Daniel, on ne t’oublie pas, bien au contraire 😃 Quel est le contenu de ce Guide? On vous le donne en mille… Le guide d’accompagnement reprend à travers trois parties distinctes, les éléments essentiels pour permettre aux acteurs de la profession de conduire un projet en BIM de façon optimale : les fondamentaux pour une bonne compréhension du BIM, les outils nécessaires à son déploiement, les pratiques collaboratives à adopter pour optimiser l’usage de la maquette numérique au cours de toutes les phases du projet. Il définit ainsi une méthodologie pour les acteurs de la profession qui souhaitent développer une démarche BIM, notamment via des projets pilotes, mais aussi une base de référence pour les différents groupes de travail du CRTI-B, qui le feront évoluer au fil des retours d’expériences et des avancées concernant le BIM. Et pour l’avenir? Rien n’est jamais figé dans le marbre avec le BIM… Chez BIMConsult, nous partons du constat que tout peut être implémenté… bon d’accord AMÉLIORÉ… C’est juste qu’on aime beaucoup ce terme d’implémentation dans le BIM. 😁 😏 Pour faire évoluer le Guide, des experts (et devinez lesquels 😉) accompagneront la mise en œuvre du BIM au sein de trois projets pilotes retenus par l’OAI suite à un appel à candidature. Les trois équipes ont d’ores et déjà été sélectionnées pour travailler sur des projets d’envergures différentes et aux fonctions diverses afin d’obtenir un maximum de retours d’expériences. Le Guide, dont l’initiative est soutenue par le gouvernement, vise ainsi à accompagner les membres dans cette transition vers le BIM, qui s’impose comme la solution d’avenir dans le secteur de la construction. Retrouvez tous les documents et apprenez en plus sur tous les partenaires sur http://www.digitalbuilding.lu.

Last but not least… Cas d’usage part III

BIM et cas d’usage… C’est vrai qu’on aime faire durer le Plaisir chez BIMConsult. Mais c’est tout simplement parce que tout vient à point à qui sait attendre… 😁 Et bien le voilà… C’est le moment de vous parler de notre dernier volet sur les cas d’usage ! Mais avant toute chose, pour tous ceux qui veulent se remémorer les 14 premiers cas d’usage… ➡ https://bimconsult.lu/1-2-21-cas-dusage-part-i/ et https://bimconsult.lu/ils-sont-arrives-cas-dusage-part-ii/ C’est parti pour nos 7 derniers cas d’usage, qui, si je ne m’abuse nous conduisent à nos 21 cas d’usage de base BIM. 1-Préfabrication. Il s’agit ici de modéliser précisément certains éléments en définissant les gabarits et les découpes indispensables à la préfabrication, puis à la mise en place sur chantier. Cet usage s’apparente aux usages 6 et 7 de notre dernier volet. ➡ https://bimconsult.lu/ils-sont-arrives-cas-dusage-part-ii/. Seulement, il implique un niveau de détaille beaucoup, beaucoup et même beaucoup plus élevé… Pas de panique, ça se passe bien quand on est accompagné 😉 2-Consolidation des maquettes numériques et des documents, maquette numérique définitive. Ce n’est ni plus ni moins que la mise à jour de la maquette finale (géométrie + information) et du corpus documentaire associé. Le but : les livrer au Maitre d’Ouvrage comme dossier « As-Built ». You can do it ! 💪 💪 3-Plan prévisionnel de maintenance (définition des gammes de maintenance). Mettre en place un plan de maintenance des différents éléments du bâtiment tout au long de son cycle de vie en exploitant l’information contenue dans la maquette d’exploitation… Finalement de l’organisation mais avant tout de la projection… 4-Analyse des performances effectives de l’ouvrage. On est dans le concret. Cet usage consiste à compléter la maquette d’exploitation par des valeurs réelles mesurées dans le bâtiment (consommations, températures, luminosité, débits d’air, etc…). Ces valeurs pourront être comparées à celles estimées en phase conception sur la base de simulations. Là, on vous renvoi aux usages 2 à 4 de notre dernier volet. ➡ https://bimconsult.lu/ils-sont-arrives-cas-dusage-part-ii/ 5-Gestion des ouvrages et des équipements (GMAO). Le moment est venu ! Il s’agit maintenant de lier une maquette exploitation à un système de GMAO afin d’exploiter l’information qu’elle contient pour planifier et gérer les interventions de maintenance, que ce soit de manière préventive ou corrective. Ça ne vous rappelle rien ? Oui, c’est ça, ce magnifique billet publié le 20 avril. ➡ https://bimconsult.lu/gmao-bim-exploitation-optimisee/ Un lien bilatéral permettra de mettre à jour la maquette à partir des informations recueillies à l’issue des interventions. 6-Gestion des espaces et de leur affectation (occupation, déménagements…). Puisque qu’on parle de lier la maquette d’exploitation, devinez ? Ce cas d’usage vise à lier une maquette exploitation à un système de gestion des espaces afin d’exploiter l’information qu’elle contient. le but : planifier et gérer l’occupation du bâtiment, les déménagements, le mobilier… A nouveau, un lien bilatéral permettra de mettre à jour la maquette à partir des informations recueillies à l’issue des changements. 7-Médiatisation du projet (images, vidéos, visites virtuelles…). Nous y sommes, voici le dernier… Quel résultat ? Ce cas d’usage consiste à utiliser la maquette pour présenter le projet au travers d’images et de vidéos, afin d’en expliquer les concepts architecturaux et techniques. Moyennant des dispositifs techniques avancés, il pourra être envisagé de mettre en place des visites virtuelles. Ça y est, vous savez tous sur les 21 cas d’usages BIM de base… enfin presque tout… Surtout, si besoin, nous sommes là 😁 😉